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Le management par le bonheur

Le bonheur en entreprise a été très fortement médiatisé avec l’arrivée des Chief Happiness Officer (= Directeur du bonheur) dans la Silicon Valley ces dernières années. Dans cette région mythique des Etats-Unis où les plus grosses entreprises d’informatique mondiales prospèrent, une course effrénée s’y déroule : faire en sorte que les employés soient les plus heureux possibles afin qu’ils travaillent plus longtemps, soient plus productifs, et… n’aillent pas voir les concurrents ! En effet ces informaticiens, ingénieurs et autres talents sont très demandés dans ces domaines hyper concurrentiels. Or, quid de la France ?

Dans notre cher hexagone, la recherche du bonheur en entreprise semble apparaitre doucement et surement mais dans un autre genre de contexte … pour faire face à celui des hausses des grèves, conflits sociaux et autres augmentations de risques psycho-sociaux tels que les burn out, qui hantent les entreprises… La communication entre les différentes strates des entreprises pouvant atteindre de tels points de non retour, que la seule solution perçue quand les finances de l’entreprise sont en grande difficulté : le plan social.

Or il existe des alternatives ! En effet énormément de manque à gagner est perdu en entreprise du fait du désengagement des employés, certains chiffres annoncent une augmentation de 30% des collaborateurs lorsqu’ils sont heureux d’aller travailler le matin. Cela se démontre par plusieurs tendances, en moyenne en France, les entreprises sont constituées de : 30% des employés sont engagés, 52% sont désengagés (ceux qui font leurs horaires mais pas plus) et 18% sont activement désengagés (!!).

Or que se passerait-il pour la productivité si les personnes « activement désengagées », n’étaient juste que « désengagées » ? En effet cela apporterait un coup de boost à l’entreprise, et nous pouvons aller encore plus loin en atteignant un fort engagement de l’ensemble du personnel grâce à une culture du bonheur dans l’entreprise.

Utopique vous me direz ? Et bien je tenterai de vous démontrer le contraire dans les prochains articles !

Robin.

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